Les objets de la ceinture de Kuiper, petits corps similaires à Pluton au-delà de Neptune, présentent une répartition particulière qu'il est difficile d'expliquer par le simple hasard.
Pour la première fois en France, un lien optique télécom DOMINO (Démonstrateur Optique pour les transMissions haut débIt eN Orbite) entre un satellite en orbite basse et une station sol a été réalisé à l’Observatoire de la Côte d’Azur sur le site de Calern.
C’est très précisément le 22 juin 2015 qu’un lien optique parfaitement nominal tant sur le plan du suivi satellite que sur les aspects détection et décodage en temps réel entre le terminal SOTA (Small Optical TerminAl, figure 1) du NICT installé sur le satellite Japonais SOCRATES de la société AES et la station MeO (Métrologie Optique) à Calern sur le site de l’Observatoire de la Côte d’Azur dans les Alpes Maritimes a pu être réalisé. Depuis cette date plusieurs autres liens ont à nouveau été établis dans différentes configurations instrumentales.
En utilisant les observations de la sonde Cassini, une équipe d'astronomes français de l'Institut de mécanique céleste et de calcul des éphémérides (Observatoire de Paris / CNRS / UPMC / université Lille 1), et du laboratoire Geoazur (Observatoire de la Côte d'Azur / CNRS / Université de Nice-Sophia Antipolis / IRD) parviennent à préciser les positions possibles d'une 9e planète dans le système solaire. Ce résultat fait l'objet d'un article scientifique paru le 22 février 2016 dans Astronomy & Astrophysics letters.
Les objets de la ceinture de Kuiper, petits corps similaires à Pluton au-delà de Neptune, présentent une répartition particulière qu'il est difficile d'expliquer par le simple hasard.
Une équipe de géophysiciens de Géoazur, de l’UPMC, de l’Institut de Physique du Globe de Paris et de l’Institut de Géophysique du Pérou spécialisés dans l’étude de la cordillère des Andes vient de mettre en évidence un nouveau type de mécanisme impliqué dans la dynamique de cette zone de subduction.
Ces travaux ont été publiés dans Nature Geosciences de décembre 2015.
Grâce à l’infrastructure sous-marine déployée au large de l’aéroport de Nice-Côte d’Azur, des capteurs pourront bientôt envoyer par Internet des informations sur le comportement des fonds marins.
Cet observatoire câblé est une première sur la Côte d’Azur, ce projet a été conduit à bien grâce à un partenariat entre le laboratoire Géoazur (Université Nice Sophia Antipolis, CNRS, IRD, OCA) et l’Ifremer.
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